© Union nationale des CPIE

Les participant·e·s se sont initié·e·s, en l’expérimentant, à la pratique d’un séminaire de rencontre active. Développée par AgroParisTech, partenaire du réseau sur le sujet de la gestion du vivant en commun, cette modalité a permis l’expression des « Conditions et moyens d’une meilleure prise en charge du vivant dans nos territoires : quelle place pour les CPIE en territoires pour l’action en commun ? »

Dans notre commun de réseau, on peut déjà compter sur une affirmation d’un vivant multidimensionnel, qu’il n’est pas forcément indispensable de définir précisément mais pour lequel la conscience forte des interdépendances entre vivant humain et non humain est partagée ; la nécessité de se donner la liberté de réaliser des démarches stratégiques sur le territoire avec les acteurs concernés pour créer et ancrer la confiance ; affirmer avec conviction que le territoire, malgré la mondialisation et le manque de prise sur les logiques mondiales, est un lieu d’engagement de l’action commune où, dans la spécificité du local, des dynamiques peuvent se créer en faveur du vivant ; accepter une prise de risque sous le regard des différents acteurs territoriaux ; et d’autres éléments encore à faire émerger de tous les propos tenus.

Il a même été suggéré à la fin de la journée de penser le renouvellement de notre charte de réseau avec ces nouveaux contenus. A suivre…